MENTIONS LEGALES
" Porte du Silence"       Copyright 2017  Création du site: Christian Tell
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L'expérience de la non dualité,
c'est s'accepter soi-même,
c’est accepter l’ordre cosmique,
là, plus de dualité.
Il n'y a rien à rejeter, ni rien à choisir,
c’est vivre à partir du domaine d'hishiryo,
(de la non-pensée, du grand égo),
pour que cela s’exprime, le mental dualiste est au repos.
 
Comprendre profondément le mécanisme du mental dualiste,
c'est  accéder à la condition humaine normale.
 
Des moyens habiles ou outils existent pour accompagner sur le chemin de la libération de la souffrance.
Ne pas tromper les bouddhas, ne pas tromper les êtres, ne pas se tromper soi-même
 
Le Bouddha a dit : "Pour les bodhisattvas [engagés] dans la pratique, il existe trois paroles de vérité : la première, ne pas tromper les bouddhas ainsi-venus ; la seconde, ne pas tromper la multitude des êtres ; la troisième, ne pas se tromper soi-même. Cela signifie qu'une fois qu'on a conçu l’esprit d’éveil, on ne se réjouit plus d’un fruit mineur et bien qu'on soit encore confronté à toutes sortes de souffrances, on n'est plus ni effrayé ni ébranlé. C’est là ne pas tromper et les bouddhas et les êtres et soi-même. Qui plus est, il existe quatre moyens pour ne pas tromper les ainsi-venus : 1) la détermination ; 2) la puissance intérieure ; 3) la force intérieure ; 4) la moralité et la patience. Il existe quatre moyens pour ne pas tromper les êtres : 1) un solide apprentissage ; 2) l’amour qui donne la joie ; 3) la compassion qui se soucie des douleurs ; 4) le secours des êtres. Il existe quatre moyens pour ne pas se tromper soi-même : 1) la détermination ; 2) la détermination réitérée ; 3) un cœur dénué de séduction ; 4) un cœur dénué de duperie."
Ordination
Citations de Maitres: Shunryū Suzuki.
 
« La réalité ne peut être saisie par l'intellect ou par les sens. D'instant en instant, observer votre respiration, observer votre position, c'est la vraie nature. Il n'y a pas de secret au-delà de ce fait. »
 
« Trouver le plaisir au milieu de la souffrance est la seule manière d'accepter la vérité de l'impermanence. »
 
« Le Zen n'est pas seulement pour celui qui peut s'asseoir jambes croisées ou qui a de grandes aptitudes spirituelles. Tout le monde a la nature de Bouddha. Nous devons chacun trouver un moyen de réaliser notre vraie nature. »
 
« Si vous essayez d'atteindre l'illumination, cela fait partie du karma ; vous créez du karma et vous êtes mené par le karma, et vous perdez votre temps sur un coussin noir. Selon Bodhidharma, la pratique fondée sur une idée d'acquisition n'est qu'une répétition de votre karma. »
Les causeries
Le zen est une voie d’authenticité et d’éveil née de l’expérience du Bouddha Shâkyamuni.
 
Cet homme que l’on appelait également Gautama vivait dans l’Inde du Nord quelques siècles avant Jésus-Christ. De la caste des guerriers, il appartenait au clan des Shâkya. On le disait promis à un destin de roi. Une nuit pourtant, touché par la détresse du monde, il quitta son palais et devint un ascète errant. Après six années de macérations, renonçant à ses austérités, il rassembla des herbes et s’en fit un siège. Il s’assit droit, les jambes croisées dans la posture du lotus. Après une nuit de méditation, comme il contemplait l’étoile du matin qui pâlissait dans le ciel, le Réel lui apparut clairement. Il s’exclama alors : "Moi et tous les êtres sur la Terre entière avons simultanément réalisé l’éveil." Il était devenu le Mahâmuni, "le Grand Sage", ou plus communément le Shâkyamuni, "le Sage des Shâkya". Il se leva et enseigna aux hommes pendant quarante-cinq ans.
 
Le zen, en tant qu’école indépendante, apparaît en Chine vers les sixième et septième siècle après Jésus-Christ et s'inscrit dans le courant dit du Grand Véhicule. Deux ou trois siècles auparavant, un mystérieux moine indien, le fantasque Bodhidharma se serait retiré dans une grotte à Shaolin et aurait apporté, dit-on, la fleur du zen dans ces terres orientales.
Cinq écoles zen fleurirent effectivement en Chine aux époques Tang (618-907) puis Song (960-1127). Les écoles Linji et Caodong, Rinzai et Sôtô dans la prononciation japonaise, sont les plus connues. Le zen se transmit ensuite dans tous les pays d’influence chinoise, en Corée, au Viet-Nâm et même au Tibet. Comme quelques autres moines japonais, Dôgen (1200-1253) visita les grands monastères de la côte Est de la Chine et ramena à son tour les graines du zen dans son propre pays. Quelques générations après, le zen devenait l'une des principales écoles bouddhistes du Japon. en savoir +
LE ZEN
La méditation
La contemplation
Le zazen
 
LA PORTE DU SILENCE
la porte du silence
LES ENSEIGNEMENTS
 
 
 
 
"La porte du silence" est une association créée à Rueil-Malmaison, dont l'objet est de permettre à toute personne intéressée, de pratiquer la voie du Zen .
 
Le dojo est dirigé par Patrice Lamboy qui pratique cette voie depuis 1984.
Il a été ordonné moine en 1991 sous le nom de Mokudo, par Sando Kaisen, lui-même ancien disciple de Taisen  Deshimaru, moine japonais qui le premier a diffusé la pratique de zazen en France et en Europe.
 
Aujourd'hui, il partage son temps entre Rueil-Malmaison et Bruxelles.
Les grands maîtres
Les premiers enseignements  du Bouddha Sakyamuni
 
La quatrième noble vérité présente l'octuple sentier, qui  libère de la souffrance.
 
Les Quatre Nobles Vérités
 
la Vérité de la Souffrance,
la Vérité des Causes de la Souffrance,
l’Extinction de la Souffrance,
La Voie vers l’Extinction de la Souffrance
 

L' Octuple  Sentier
 
Compréhension juste
Pensée juste
Parole juste
Action juste
Moyen d'existence juste
Effort juste
Attention juste
Concentration juste
 
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